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== Philosophie politique ==
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<<[[Pierre Joseph Proudhon]]
=== Le "premier anarchiste" ===
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Il y eut de nombreuses personnes avant lui à s'opposer aux autorités, mais il est le premier à se qualifier d'anarchiste dans sa thèse (''Qu'est-ce que la propriété ?'') publiée en 1840, sous la forme d'un dialogue:
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« Eh! pouvez-vous le demander, répond sans doute quelqu'un de mes plus jeunes lecteurs; vous êtes républicain.
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Da es kaum brauchbare Übersetzungen über Proudhon im Deutschen gibt, hier eine automatische google-Übersetzung aus der [[:fr:Pierre-Joseph_Proudhon|französischen Anarchopedia]]
  
-Républicain, oui ; mais ce mot ne précise rien. ''Res publica'', c'est la chose publique ; or quiconque veut la chose publique, sous quelque forme de gouvernement que ce soit, peut se dire républicain. Les rois aussi sont républicains.
 
  
- Eh bien! vous êtes démocrate ?
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==Politische Philosophie==
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===Der „erste Anarchist“===
  
-Non.
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Es gab zahlreiche Personen vor ihm, welche sich den Behörden widersetzten, aber Proudhon ist der Erste, der sich und seine Theorien als Anarchisten bezeichnet (Was ist Eigentum?; veröffentlicht in 1840) Das Werk ist  in Dialogform geschrieben:
  
-Quoi! vous seriez monarchiste ?
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„Ah!, antwortet zweifellos jemandes meiner jüngsten Leser, Sie sind republikanisch.
  
-Dieu m'en garde.
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- Republikaner ja; aber dieser Begriff legt nichts fest, denn "Res publica" ist die öffentliche Sache, aber jeder, der will kann die öffentliche Sache in irgendeiner Form in jeder Regierung sehen. Das hat zur Folge, dass diese sich als republikanisch bezeichnen kann. Die Könige sind also auch republikanisch.
  
-Vous êtes donc aristocrate ?
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- Ah! Sind Sie Demokrat?
  
-Point du tout.
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- Nein.
  
-Vous voulez un gouvernement mixte ?
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- Was? Wollen Sie sagen, dass Sie Royalist sind?
  
-Encore moins.
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- Gott beware.
  
-Qu'êtes vous donc ?
+
Sie sind also Aristokrat?
  
-Je suis anarchiste. »
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- Ãœberhaupt nicht.
  
Auparavant le terme ''anarchiste'' servait à insulter la Gauche durant la Révolution française, il désigne depuis Proudhon la philosophie politique anarchiste.
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Wollen Sie eine gemischte Regierung?
  
===La propriété c'est le vol===
+
- Noch weniger.
  
Selon Proudhon, de même que l’esclavage c’est l’assassinat de l’homme, la propriété c’est le vol. Si, écrit-il dans Qu’est-ce que la propriété ? (1840) :
+
- Was sind Sie also?
''»tel auteur enseigne que la propriété est un droit civil, né de l'occupation et sanctionné par la loi"''; si ''"tel autre soutient qu'elle est un droit naturel, ayant sa source dans le travail"''; lui prétend ''"que ni le travail, ni l'occupation, ni la loi ne peuvent créer la propriété, qu'elle est un effet sans cause"''.
+
  
Proudhon affirme que le propriétaire capitaliste, en payant le travail des ouvriers, paye ''"autant de fois une journée qu'il a employé d'ouvriers chaque jour, ce qui n'est point du tout la même chose"''. Ainsi il a fallu quelques heures à deux cents grenadiers pour dresser l'obélisque de Louqsor sur la place de la Concorde, ''"suppose-t-on qu'un seul homme, en deux cents jours, en serait venu à bout ?".''
+
Ich bin anarchistisch.“
  
La production est le résultat de l'utilisation de la force collective du travail et non de l'addition des forces individuelles des travailleurs. C'est la force collective qui permet le surplus d'énergie, et c'est le propriétaire capitaliste qui s'attribue ce surplus d'énergie.
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Zuvor diente der Begriff "Anarchismus" dazu, die Linke während der französischen Revolution zu beleidigen, erst seit Proudhon bezeichnet er eine politische Philosophie.
La propriété capitaliste, selon Proudhon, c'est le droit de jouir du travail des autres, c'est le droit de disposer du bien d'autrui. C'est pourquoi la propriété c'est le vol.
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Selon Proudhon, il y a donc entre l'ouvrier qui reçoit le salaire de sa journée de travail et le propriétaire capitaliste qui s'empare du produit de la force collective auquel l'ouvrier a participé une erreur de compte. C'est pourquoi'' "le travailleur conserve, même après avoir reçu son salaire, un droit naturel de propriété sur la chose qu'il a produite"''. Il s'en suit que le travailleur a droit, dans la proportion de son travail, à la participation des produits et des bénéfices.
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L'existence de la propriété capitaliste a pour conséquence une situation économique et politique désastreuse. Du point de vue économique la propriété capitaliste conduit à l'exploitation du travailleur en effectuant une retenue sur son travail productif, et donc en limitant sa consommation au profit d'une minorité d'oisifs (les rentiers). Du point de vue politique la propriété capitaliste conduit à l'inégalité des droits et au triomphe de la raison du plus fort.
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Est-ce à dire qu'il faille substituer la communauté des biens à la propriété capitaliste. Proudhon ne le pense pas car pour lui la communauté des biens est injuste et oppressive. Elle est injuste car elle permet l'exploitation du fort par le faible, en récompensant de même manière le paresseux et celui qui travaille, en récompensant de même manière la bêtise et le talent. La communauté des biens est oppressive parce qu'elle enchaîne par ''"une uniformité béate et stupide ... la personnalité libre, active, raisonneuse, insoumise de l'homme ..."''.
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Qu'elle est la solution ? La solution c'est la possession. La propriété capitaliste doit être remplacée par une possession individuelle, transmissible et susceptible d'échange, cette possession ''"ayant pour condition le travail, non une occupation fictive, ou une oisive volonté".''
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===Eigentum ist Diebstahl===
Cependant, dans son ouvrage posthume La Théorie de la propriété (1866), Proudhon constate que :
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''"... le peuple, même celui du socialisme, veut, quoi qu'il dise, être propriétaire ..."'' et il pense qu'en définitive la propriété individuelle, absolue et incoercible, peut assurer la protection des faibles contre l'Etat. Car c'est l'Etat l'ennemi véritable du citoyen.
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Mais l'on ne saurait confondre cette propriété individuelle avec la propriété capitaliste, celle des rentiers, car cette propriété individuelle est fondée sur le travail associatif, c'est une ''"propriété fédéraliste"''. La propriété n'est acceptable que dans la mesure où elle permet l'usus et non pas l'abusus.
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(Textstellen mit eckigen Klammern sind unbearbeitet)
  
L'ennemi principal c'est donc l'Etat. C'est la raison pour laquelle Proudhon est hostile à l'Etat, pour l'anarchie et pour la révolution.
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Nach Proudhon ist ebenso wie die Knechtschaft der Mord des Menschen ist, das Eigentum Diebstahl. Er schreibt in "Was ist Eigentum?" (1840): [“ solcher Autor lehrt, daß das Eigentum ein gerader Zivilist ist, entstanden aus der Beschäftigung und durch das Gesetz sanktioniert "; wenn „solcher andere unterstützt, daß sie ein natürliches Recht ist, das seine Quelle in der Arbeit hat“; behauptet ihm „daß weder die Arbeit, weder die Beschäftigung, noch das Gesetz das Eigentum schaffen können, daß sie eine Wirkung ohne Ursache ist“.]
  
===Le gouvernement de l'homme par l'homme c'est la servitude===
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[Proudhon behauptet, daß der kapitalistische Eigentümer, indem er die Arbeit der Arbeiter zahlt „genausoviel Mal ein Tag zahlt, den er sich von Arbeitern jeder Tag gebraucht hat, was nicht mehr vom allem ist dieselbe Sache“. So hat es einige Stunden an zwei hundert Granatapfelbäumen gedauert, um den Obelisk von Louqsor auf der Place de l'Unité aufzustellen nimmt „man an, daß nur ein Mann in zweihundert Tagen davon zu Ende gekommen wäre?“.]
  
Si l'exploitation de l'homme par l'homme dans la propriété capitaliste c'est donc le vol, selon Proudhon ''"Eh bien ! le gouvernement de l'homme par l'homme, c'est la servitude"'' (Les Confessions d'un révolutionnaire, 1850).
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Die Produktion ist das Ergebnis der Benutzung der gemeinsamen Kraft der Arbeit und nicht der Addierung der individuellen Kräften der Arbeiter. Es ist die gemeinsame Kraft, die einen [Energieüberschuß {vielleicht: Gewinn?}] erlaubt, und es ist der kapitalistische Eigentümer, der sich diesen Energieüberschuß zuteilt. Das kapitalistische Eigentum  nach Proudhon ist das Recht, die Arbeit der anderen zu genießen, es ist das Recht, über andere zu verfügen. Deshalb ist das Eigentum Diebstahl. Nach Proudhon hat es dort also zwischen dem Arbeiter, der das Gehalt seiner Tagesarbeit vom kapitalistischen Eigentümer empfängt, der sich wiederum des Produktes der gemeinsamen Kraft bemächtigt, an dem der Arbeiter teilgenommen hat, ein mangelnder Ausgleich. Deshalb „behält der Arbeiter sogar, nachdem er sein Gehalt erhalten hat, ein natürliches Eigentumsrecht auf die Sache bei, die er produziert hat“. Daraus ergibt sich, daß der Arbeiter mit dem Anteil seiner Arbeit Anspruch auf die Produkte und aus diesen resultierende Gewinne hat. Die Existenz dieser kapitalistischen Eigenschaft hat eine verheerende wirtschaftliche und politische Lage zur Folge. Unter dem wirtschaftlichen Gesichtspunkt führt diese Eigenschaft des Kapitalismus zur Ausnutzung des Arbeiters, [indem sie einen Abzug auf seiner produktiven Arbeit durchführt und also, indem sie seinen Verbrauch zugunsten einer Minderheit von müßigen (die Rentner) begrenzt.] Unter dem politischen Gesichtspunkt führt die kapitalistische Eigenschaft zur Ungleichheit der Rechte und zum Triumph des Grundes. Man möchte also sagen, daß die Gemeinschaft der Güter diese Eigenschaft des Kapitalismus ersetzen würde. Proudhon denkt dies aber nicht, denn die Gemeinschaft der Güter erscheint ihm ungerecht und erdrückend. Sie ist ungerecht, denn sie erlaubt die Beherrschung des Starken durch das Schwache, indem sie ebenso die Faulen belohnt, wie jene, die arbeiten, und es entlöhnt die Dummheit und das Talent in gleichem Masse. Die Gemeinschaft der Güter ist bedrückend, weil sie durch „eine glückselige und dumme Gleichmäßigkeit  die freie, aktive, diskutierfreudige, ungehorsame Persönlichkeit des Menschen…verknüpft…“.
Le gouvernement démocratique n'est pas épargné :
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''"L'erreur ou la ruse de nos pères a été de faire le peuple souverain à l'image de l'homme. Et dire qu'il y a parmi nous des démocrates qui prétendent que le gouvernement a du bon ; des socialistes qui soutiennent au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité cette ignominie ; des prolétaires qui posent leur candidature à la Présidence de la République !"''. Selon lui le suffrage universel est une :''"...institution excellente pour faire dire au peuple non ce qu'il pense, mais ce qu'on veut de lui"''(Le Peuple, 1848).
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Finalement Proudhon méprisera la démocratie capitaliste, car :''"Religion pour religion, l'urne populaire est encore au-dessous de la sainte ampoule mérovingienne. Tout ce qu'elle a produit a été de changer la science en dégoût et le scepticisme en haine"''(De la Justice dans la Révolution et dans l'Eglise, 1858). C'est que Proudhon s'oppose à toute autorité imposée, à celle de l'Eglise comme à celle de l'Etat. Et il n'entend pas que le peuple soit soumis à une nouvelle religion, quelle qu'elle soit. Voilà pourquoi il s'opposera également à marx, dans lequel il voit une nouveau religieu dogmatique et intolérant :''"Ne nous faisons pas les chefs d'une nouvelle religion, cette religion fut-elle la religion de la logique, la religion de la raison"''(Lettre à Karl Marx du 17 mai 1846).
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Was ist also die Lösung? Die Lösung ist der Besitz. Die kapitalistische Eigenschaft muß durch einen individuellen, übertragbaren und empfänglichen Besitz des Austausches ersetzt werden,[ dieser Besitz „der für Bedingungen der Arbeit hat nicht eine fiktive Beschäftigung oder einen müßigen Willen“] . Jedoch in seinem posthum erschienenen Werk "Die Theorie des Eigentums" (1866), stellt Proudhon fest, daß: “… das Volk sogar jene, die den Sozialismus wünschen, wollen, wie er sagt, Eigentümer sein… [„und er denkt, daß endgültig die individuelle, absolute und unbezwingbare Eigenschaft ] den Schutz der Schwachen gegen den Staat gewährleisten kann. Denn der Staat ist der echte Feind des Bürgers.
  
===Pour un ordre volontaire===
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Aber man könnte diese individuelle Eigenschaft nicht mit der kapitalistischen Eigenschaft, jener der Rentner verwechseln, denn diese individuelle Eigenschaft ist auf der assoziativen Arbeit basiert, es ist eine „föderalistische Eigenschaft“. Das Eigentum ist nur annehmbar, wenn es den usus erlaubt, und nicht den abusus.
  
Proudhon est pour une certaine forme d'ordre. Proudhon est, pour un ordre volontaire :
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Der wichtigste Feind ist also der Staat. Dies ist der Grund, wieso Proudhon feindselig gegenüber dem Staat  und für die Anarchie und für die Revolution eingestellt ist.
''"Je veux aussi l'ordre, autant et plus que ceux qui le troublent par leur prétendu gouvernement, mais je le veux comme un effet de ma volonté, une condition de mon travail et une loi de ma raison. Je ne le subirai jamais venant d'une volonté étrangère, et s'imposant pour conditions préalables la servitude et le sacrifice".''
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Proudhon est donc contre l'ordre de l'Etat, qui est un ordre militaire, qui a pour but de ''"maintenir avant tout la féodalité capitaliste dans la jouissance de ses droits ; assurer, augmenter la prépondérance du capital sur le travail ; renforcer, s'il est possible, la classe parasite, en lui ménageant partout, à l'aide des fonctions publiques, des créatures, et au besoin des recrues ; reconstituer peu à peu et anoblir la grande propriété"''(L'Idée générale de la Révolution au XIXème siècle, 1851).
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===Die Regierung des Menschen durch den Menschen ist es der Zwang===
  
Ce que veut Proudhon c'est un ordre qui, sans la force coercitive, remène à l'unité la divergence des intérêts, identifie le bien particulier et le bien général, efface l'inégalité naturelle des facultés par l'égalité de l'éducation. Proudhon veut un ordre dans lequel chaque individu :''"soit ... producteur et consommateur, citoyen et prince, administrateur et administré ; où sa liberté augmente toujours, sans qu'il soit besoin d'en aliéner jamais rien ; où son bien-être s'accroisse indéfiniment ..."''. Cet ordre ne sera pas un ordre politique, selon Prouhon, mais un ordre économique basé sur l'autogestion et la fédération.
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Wenn die Ausnutzung des Menschen durch den Menschen im Eigentum kapitalistisch es also der Flug nach Proudhon ist „Eh gut! die Regierung des Menschen durch den Menschen, ist es der Zwang“ (die Zugeständnisse eines Revolutionärs, 1850). Die demokratische Regierung wird nicht gespart: „Der Fehler oder der Trick unserer Väter hat darin bestanden, das souveräne Volk am Bild des Menschen zu machen. Und zu sagen, daß es unter uns Demokraten gebe, die behaupten, daß die Regierung Bon habe; Sozialisten, die im Namen der Freiheit von der Gleichheit und von der Brüderlichkeit unterstützen dieses ignominie; Proletarier, die ihre Kandidatur am Vorsitz der Republik stellen!“. Seines Erachtens ist das allgemeine Wahlrecht eine: „… hervorragende Institution, um dem Volk nicht sagen zu lassen, was er denkt, aber das, was man von ihm will“ (das Volk, 1848).
  
La révolution anarchiste sera donc économique : c'est la révolution économique qui permettra de réaliser la justice sociale de l'anarchie par l'autogestion fédéraliste.
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Schließlich Proudhon wird die kapitalistische Demokratie verachten, denn: „Religion für Religion, die Volksurne ist noch unter der heiligen merowingischen Glühbirne. Alles hat das, was sie produziert hat, darin bestanden, die Wissenschaft in Abneigung und die Skepsis in Haß zu ändern“ (von der Justiz in der Revolution und in der Kirche, 1858). Es ist, daß Proudhon sich jeder aufgedrängten Autorität widersetzt, an jener der Kirche wie an jener des Staates. Und er hört nicht, daß das Volk einer neuen Religion unterliegt, gleich welcher Art. Daher wird er sich ebenfalls marx widersetzen, in dem er ein neu religieu dogmatisches und untolerant sieht: Machen „wir nicht die Chefs einer neuen Religion, war diese Religion die Religion der Logik, die Religion des Grundes“ (Brief an Karl Marx des 17. Mai 1846).
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===Für eine freiwillige Ordnung===
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Proudhon ist für eine gewisse Art der Kammer. Proudhon ist für eine freiwillige Kammer: „Ich will auch die Kammer, sowohl und mehr als auch jene, die es von ihrer mutmaßlich Regierung durcheinanderbringen, aber ich will es als eine Wirkung meines Willens, eine Bedingung meiner Arbeit und ein Gesetz meines Grundes. Ich werde es erfahren nie, der von einem ausländischen Willen kommt und der sich für Voraussetzungen den Zwang und das Opfer aufdrängt“.
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Proudhon ist also gegen die Kammer des Staates, der eine Militärkammer ist, die zum Ziel hat, „vor allem die kapitalistische Lehnbarkeit im Genuß ihrer Rechte aufrechtzuerhalten; die Vorrangstellung des Kapitals auf der Arbeit zu gewährleisten, zu erhöhen; , wenn es möglich ist die parasitische Klasse in ihm, die überall schont mittels der öffentlichen Dienste der Kreaturen und am Bedürfnis der Rekruten zu verstärken; nach und nach wiederherzustellen und das große Eigentum anoblir“ (die allgemeine Idee der Revolution im XIX. Jahrhundert 1851).
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Das, was Proudhon es will, ist eine Kammer, die ohne die zwingende Kraft remène an der Einheit die Divergenz der Interessen das besondere Gut identifiziert, und das allgemeine Gut die natürliche Ungleichheit der Fähigkeiten durch die Gleichheit der Erziehung löscht. Proudhon will eine Kammer, in der jedes Individuum: „, das heißt… herstell und konsumierend Bürger und Prinz, Verwalter und verwalteter; wo steigt seine Freiheit immer, ohne daß es Notwendigkeit ist, davon nichts nie zu verfremden; wo nimmt sein Wohlergehen indéfiniment zu…“. Diese Kammer wird keine politische Kammer nach Prouhon sein, sondern eine auf der Selbstverwaltung und der Föderation basierte wirtschaftliche Kammer.
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Die anarchistische Revolution wird also wirtschaftlich sein: es ist die wirtschaftliche Revolution, die erlauben wird, die soziale Justiz der Anarchie durch die föderalistische Selbstverwaltung zu verwirklichen.
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===Die föderalistische Justiz===
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Die föderalistische Justiz nach Proudhon es ist die Antithese der Justiz der katholischen Kirche: „Die alte Welt war vollständig: er hatte seine Theologie, seine Philosophie, seine Wirtschaft, seine Politik, seine Moral… wo die Revolution nichts ist, oder sie muß all das ersetzen, das heißt, die vollständige Gesellschaft wieder aufzubauen. Die Justiz für mich leitet alles: die Stadt und die Familie, die Wirtschaft, die Arbeit, die selben Briefe und die Kunst. Die Kirche, Organ des religiösen Gedanken, ist das Foyer der alten Welt… die menschliche Kammer abhängt auf die Art darunter die Justiz enthalten und entweder durch die Kirche oder durch die Revolution interpretiert,“ (von der Justiz, 1858).
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Die Justiz der Revolution nach Proudhon ist es die Frucht dieser Fähigkeit, die der Mensch besitzt dank seinem Grund, seine Würde in der Person seines ähnlichen als eine seine eigene Person zu fühlen. Die Justiz ist es also: „Der Respekt, der spontan geprüft wurde, und der von der menschlichen Würde in irgendeiner Person und unter irgendeinem Umstand, den sie einbegriffen ist und an irgendeinem Risiko gegenseitig garantiert ist, das uns ihre Verteidigung anführt“.
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Konkreter zweifellos die Justiz sozial ist es die Gleichheit und das Gleichgewicht in der Freiheit. In der Tat sind die Männer entsprech: „Alle Individuen, aus denen die Gesellschaft sich zusammensetzt, sind im Prinzip ebenso Benzin ebenso Kaliber gleichartiges, ebenso Modell-; wenn irgendein Unterschied sich untereinander manifestiert, stammt sie nicht aus dem kreativen Gedanken, der ihnen gegeben hat, es zu sein und es bildet, aber von den Außenumständen, unter denen die Individualitäten sich entstehen und entwickeln“.
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Die Justiz ist es diese Gleichheit des Individuummenschen, die durch das Gleichgewicht mit den sozialen Kräften bewahrt wird. Denn die sozialen Kräfte müssen entsprech sein, um ausbalanciert zu werden, so daß eine die anderen nicht zermalmen, und daß also die individuelle Gleichheit, das heißt die individuelle Freiheit bewahrt wird.
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===Gleichheit ist Freiheit===
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In der Tat nach Proudhon die Gleichheit ist es die Freiheit. Es ist, weil der Mensch entsprech vom Menschen ist, den er sein eigener Richter ist, und daß er sich in Autorität gegenüber sich selbst bildet. Es kann keine Freiheit geben, wenn die Autorität äußerlich am Menschen ist. Es kann eine Freiheit geben nur, wenn der Mensch sein eigener Meister ist. Deshalb sind die Devisen der Anarchie „weder Gott noch Meister“ (selbst wenn das von blanqui kommt;). Es ist der Grund, aus dem die Justiz der Revolution nur die Justiz der föderativen Selbstverwaltung, die Justiz des Mutualismus und der Zusammenarbeit sein kann.
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===Mutualismus und Kooperation===
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Die Wirtschaft wird im Rahmen mutualer und gemeinsamer Institutionen selbst verwaltet, die sich aus dem Abschluß synallagmatischer und wechselseitiger Verträge mit gegenseitigen und entsprech Verpflichtungen ergeben. Die Männer werden sich freiwillig gruppieren, indem sie sich gegenseitig eine gegenüber den anderen zwingen, und indem sie sich verpflichten werden, eine Sache zu geben oder zu machen, die als das äquivalent von dem angeschaut wird, was man für sie macht.
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So werden Einheiten der Produktion und der Verteilung dargestellt, die zwischen ihnen von den Verträgen übergehen werden, die ihre Berichte leiten sollen. Diese Einheiten werden sich freiwillig zusammenfassen, um unabhängige Einheiten in den verschiedenen Bereichen der menschlichen Aktivität darzustellen: Bergbau-, verarbeitende, kommerzielle, landwirtschaftliche Gewerbe von den Briefen, Wissenschaften und Künsten. Die freiwillige Neugruppierung der unabhängigen Einheiten wird eine landwirtschaftlich-industrielle Föderation aus der Taufe heben, die beauftragt wird, alle öffentlichen Dienste zu verwalten. Die Politik, wird das heißt die allgemeine Verwaltung ebenso Art selbst verwaltet.
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===In Richtung einer weltweiten Föderation===
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Politisch werden sich die Menschen freiwillig durch den mutualen Vertrag in Gemeinden zusammenfassen, die sich freiwillig im Rahmen von Provinzen verbinden werden, die sich verbinden werden selbst, um eine politische Föderation darzustellen, das heißt eine föderalistische Organisation.
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Diese föderalistische Organisation, um nicht bedrückend zu werden darf keine gewisse Größe überschreiten. Es ist der Grund, aus dem Proudhon geschrieben, daß: „Europa wäre für einen einzigen Bund noch zu groß: sie könnte nur einen Bundesbund ausbilden“ (vom föderativen Grundsatz, 1863).
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Die föderalistische Organisation hat: „eine Rolle der Gesetzgebung, der Institution, der Eröffnung, der Einrichtung… ersten Motors und hohen Direktors… von Hauptorgan der sozialen Bewegung…“.
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Aber Beachtung, die Macht dieser föderalistischen Organisation kann nicht zwingend sein, da sie von der freiwilligen Assoziation freier entsprech Männer also ausgeht. Die Macht der föderalistischen Organisation ist im Grunde eine Macht leitender Koordinierung, die die Einheiten der Basis frei ausführen läßt. Die föderalistische Organisation selbst verwaltet kann also nicht mit dem französischen Staat ihres Zeitalters, dem Staat napoléonien, einem zentralisierten, hierarchisch strukturierten und autoritären Staat verglichen werden. Die föderalistische Organisation ist eine Organisation dezentralisiert.
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Einzig erlaubt die föderalistische Organisation die Justiz, die Gleichheit und das Gleichgewicht in der Freiheit: „Die Gesellschaft muß nicht wie ein hérarchie von Funktionen und von Fähigkeiten, aber als ein équilibrationssystem zwischen freien Kräften angesehen werden, in dem jeder gewährleistet ist, dieselben Rechte zu genießen, unter der Voraussetzung dieselben Vorteile in Austausch derselben Dienstleistungen zu füllen“ (vom föderativen Grundsatz, 1863).
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(Jedoch macht sich Proudhon wenig Illusionen in Verbindung mit der Verwirklichung seines Systems, da er in 1860 schreibt: „Wir gehen zu einer Bildung von 5 oder 6 große Imperien, die alle für Ziel hat, das divin Recht zu verteidigen und zu restaurieren und die niedrige Plebs zu nutzen… es wird mehr in Europa weder Rechte geben weder Freiheit weder Grundsätze noch Sitten“ (Brief an Beslay, 3. Mai 1860).
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[[Kategorie:Texte]]

Latest revision as of 22:26, 30 June 2007

<<Pierre Joseph Proudhon

Da es kaum brauchbare Übersetzungen über Proudhon im Deutschen gibt, hier eine automatische google-Übersetzung aus der französischen Anarchopedia


Politische Philosophie[edit]

Der „erste Anarchist“[edit]

Es gab zahlreiche Personen vor ihm, welche sich den Behörden widersetzten, aber Proudhon ist der Erste, der sich und seine Theorien als Anarchisten bezeichnet (Was ist Eigentum?; veröffentlicht in 1840) Das Werk ist in Dialogform geschrieben:

„Ah!, antwortet zweifellos jemandes meiner jüngsten Leser, Sie sind republikanisch.

- Republikaner ja; aber dieser Begriff legt nichts fest, denn "Res publica" ist die öffentliche Sache, aber jeder, der will kann die öffentliche Sache in irgendeiner Form in jeder Regierung sehen. Das hat zur Folge, dass diese sich als republikanisch bezeichnen kann. Die Könige sind also auch republikanisch.

- Ah! Sind Sie Demokrat?

- Nein.

- Was? Wollen Sie sagen, dass Sie Royalist sind?

- Gott beware.

Sie sind also Aristokrat?

- Ãœberhaupt nicht.

Wollen Sie eine gemischte Regierung?

- Noch weniger.

- Was sind Sie also?

Ich bin anarchistisch.“

Zuvor diente der Begriff "Anarchismus" dazu, die Linke während der französischen Revolution zu beleidigen, erst seit Proudhon bezeichnet er eine politische Philosophie.

Eigentum ist Diebstahl[edit]

(Textstellen mit eckigen Klammern sind unbearbeitet)

Nach Proudhon ist ebenso wie die Knechtschaft der Mord des Menschen ist, das Eigentum Diebstahl. Er schreibt in "Was ist Eigentum?" (1840): [“ solcher Autor lehrt, daß das Eigentum ein gerader Zivilist ist, entstanden aus der Beschäftigung und durch das Gesetz sanktioniert "; wenn „solcher andere unterstützt, daß sie ein natürliches Recht ist, das seine Quelle in der Arbeit hat“; behauptet ihm „daß weder die Arbeit, weder die Beschäftigung, noch das Gesetz das Eigentum schaffen können, daß sie eine Wirkung ohne Ursache ist“.]

[Proudhon behauptet, daß der kapitalistische Eigentümer, indem er die Arbeit der Arbeiter zahlt „genausoviel Mal ein Tag zahlt, den er sich von Arbeitern jeder Tag gebraucht hat, was nicht mehr vom allem ist dieselbe Sache“. So hat es einige Stunden an zwei hundert Granatapfelbäumen gedauert, um den Obelisk von Louqsor auf der Place de l'Unité aufzustellen nimmt „man an, daß nur ein Mann in zweihundert Tagen davon zu Ende gekommen wäre?“.]

Die Produktion ist das Ergebnis der Benutzung der gemeinsamen Kraft der Arbeit und nicht der Addierung der individuellen Kräften der Arbeiter. Es ist die gemeinsame Kraft, die einen [Energieüberschuß {vielleicht: Gewinn?}] erlaubt, und es ist der kapitalistische Eigentümer, der sich diesen Energieüberschuß zuteilt. Das kapitalistische Eigentum nach Proudhon ist das Recht, die Arbeit der anderen zu genießen, es ist das Recht, über andere zu verfügen. Deshalb ist das Eigentum Diebstahl. Nach Proudhon hat es dort also zwischen dem Arbeiter, der das Gehalt seiner Tagesarbeit vom kapitalistischen Eigentümer empfängt, der sich wiederum des Produktes der gemeinsamen Kraft bemächtigt, an dem der Arbeiter teilgenommen hat, ein mangelnder Ausgleich. Deshalb „behält der Arbeiter sogar, nachdem er sein Gehalt erhalten hat, ein natürliches Eigentumsrecht auf die Sache bei, die er produziert hat“. Daraus ergibt sich, daß der Arbeiter mit dem Anteil seiner Arbeit Anspruch auf die Produkte und aus diesen resultierende Gewinne hat. Die Existenz dieser kapitalistischen Eigenschaft hat eine verheerende wirtschaftliche und politische Lage zur Folge. Unter dem wirtschaftlichen Gesichtspunkt führt diese Eigenschaft des Kapitalismus zur Ausnutzung des Arbeiters, [indem sie einen Abzug auf seiner produktiven Arbeit durchführt und also, indem sie seinen Verbrauch zugunsten einer Minderheit von müßigen (die Rentner) begrenzt.] Unter dem politischen Gesichtspunkt führt die kapitalistische Eigenschaft zur Ungleichheit der Rechte und zum Triumph des Grundes. Man möchte also sagen, daß die Gemeinschaft der Güter diese Eigenschaft des Kapitalismus ersetzen würde. Proudhon denkt dies aber nicht, denn die Gemeinschaft der Güter erscheint ihm ungerecht und erdrückend. Sie ist ungerecht, denn sie erlaubt die Beherrschung des Starken durch das Schwache, indem sie ebenso die Faulen belohnt, wie jene, die arbeiten, und es entlöhnt die Dummheit und das Talent in gleichem Masse. Die Gemeinschaft der Güter ist bedrückend, weil sie durch „eine glückselige und dumme Gleichmäßigkeit die freie, aktive, diskutierfreudige, ungehorsame Persönlichkeit des Menschen…verknüpft…“.

Was ist also die Lösung? Die Lösung ist der Besitz. Die kapitalistische Eigenschaft muß durch einen individuellen, übertragbaren und empfänglichen Besitz des Austausches ersetzt werden,[ dieser Besitz „der für Bedingungen der Arbeit hat nicht eine fiktive Beschäftigung oder einen müßigen Willen“] . Jedoch in seinem posthum erschienenen Werk "Die Theorie des Eigentums" (1866), stellt Proudhon fest, daß: “… das Volk sogar jene, die den Sozialismus wünschen, wollen, wie er sagt, Eigentümer sein… [„und er denkt, daß endgültig die individuelle, absolute und unbezwingbare Eigenschaft ] den Schutz der Schwachen gegen den Staat gewährleisten kann. Denn der Staat ist der echte Feind des Bürgers.

Aber man könnte diese individuelle Eigenschaft nicht mit der kapitalistischen Eigenschaft, jener der Rentner verwechseln, denn diese individuelle Eigenschaft ist auf der assoziativen Arbeit basiert, es ist eine „föderalistische Eigenschaft“. Das Eigentum ist nur annehmbar, wenn es den usus erlaubt, und nicht den abusus.

Der wichtigste Feind ist also der Staat. Dies ist der Grund, wieso Proudhon feindselig gegenüber dem Staat und für die Anarchie und für die Revolution eingestellt ist.

Die Regierung des Menschen durch den Menschen ist es der Zwang[edit]

Wenn die Ausnutzung des Menschen durch den Menschen im Eigentum kapitalistisch es also der Flug nach Proudhon ist „Eh gut! die Regierung des Menschen durch den Menschen, ist es der Zwang“ (die Zugeständnisse eines Revolutionärs, 1850). Die demokratische Regierung wird nicht gespart: „Der Fehler oder der Trick unserer Väter hat darin bestanden, das souveräne Volk am Bild des Menschen zu machen. Und zu sagen, daß es unter uns Demokraten gebe, die behaupten, daß die Regierung Bon habe; Sozialisten, die im Namen der Freiheit von der Gleichheit und von der Brüderlichkeit unterstützen dieses ignominie; Proletarier, die ihre Kandidatur am Vorsitz der Republik stellen!“. Seines Erachtens ist das allgemeine Wahlrecht eine: „… hervorragende Institution, um dem Volk nicht sagen zu lassen, was er denkt, aber das, was man von ihm will“ (das Volk, 1848).

Schließlich Proudhon wird die kapitalistische Demokratie verachten, denn: „Religion für Religion, die Volksurne ist noch unter der heiligen merowingischen Glühbirne. Alles hat das, was sie produziert hat, darin bestanden, die Wissenschaft in Abneigung und die Skepsis in Haß zu ändern“ (von der Justiz in der Revolution und in der Kirche, 1858). Es ist, daß Proudhon sich jeder aufgedrängten Autorität widersetzt, an jener der Kirche wie an jener des Staates. Und er hört nicht, daß das Volk einer neuen Religion unterliegt, gleich welcher Art. Daher wird er sich ebenfalls marx widersetzen, in dem er ein neu religieu dogmatisches und untolerant sieht: Machen „wir nicht die Chefs einer neuen Religion, war diese Religion die Religion der Logik, die Religion des Grundes“ (Brief an Karl Marx des 17. Mai 1846).

Für eine freiwillige Ordnung[edit]

Proudhon ist für eine gewisse Art der Kammer. Proudhon ist für eine freiwillige Kammer: „Ich will auch die Kammer, sowohl und mehr als auch jene, die es von ihrer mutmaßlich Regierung durcheinanderbringen, aber ich will es als eine Wirkung meines Willens, eine Bedingung meiner Arbeit und ein Gesetz meines Grundes. Ich werde es erfahren nie, der von einem ausländischen Willen kommt und der sich für Voraussetzungen den Zwang und das Opfer aufdrängt“.

Proudhon ist also gegen die Kammer des Staates, der eine Militärkammer ist, die zum Ziel hat, „vor allem die kapitalistische Lehnbarkeit im Genuß ihrer Rechte aufrechtzuerhalten; die Vorrangstellung des Kapitals auf der Arbeit zu gewährleisten, zu erhöhen; , wenn es möglich ist die parasitische Klasse in ihm, die überall schont mittels der öffentlichen Dienste der Kreaturen und am Bedürfnis der Rekruten zu verstärken; nach und nach wiederherzustellen und das große Eigentum anoblir“ (die allgemeine Idee der Revolution im XIX. Jahrhundert 1851).

Das, was Proudhon es will, ist eine Kammer, die ohne die zwingende Kraft remène an der Einheit die Divergenz der Interessen das besondere Gut identifiziert, und das allgemeine Gut die natürliche Ungleichheit der Fähigkeiten durch die Gleichheit der Erziehung löscht. Proudhon will eine Kammer, in der jedes Individuum: „, das heißt… herstell und konsumierend Bürger und Prinz, Verwalter und verwalteter; wo steigt seine Freiheit immer, ohne daß es Notwendigkeit ist, davon nichts nie zu verfremden; wo nimmt sein Wohlergehen indéfiniment zu…“. Diese Kammer wird keine politische Kammer nach Prouhon sein, sondern eine auf der Selbstverwaltung und der Föderation basierte wirtschaftliche Kammer.

Die anarchistische Revolution wird also wirtschaftlich sein: es ist die wirtschaftliche Revolution, die erlauben wird, die soziale Justiz der Anarchie durch die föderalistische Selbstverwaltung zu verwirklichen.

Die föderalistische Justiz[edit]

Die föderalistische Justiz nach Proudhon es ist die Antithese der Justiz der katholischen Kirche: „Die alte Welt war vollständig: er hatte seine Theologie, seine Philosophie, seine Wirtschaft, seine Politik, seine Moral… wo die Revolution nichts ist, oder sie muß all das ersetzen, das heißt, die vollständige Gesellschaft wieder aufzubauen. Die Justiz für mich leitet alles: die Stadt und die Familie, die Wirtschaft, die Arbeit, die selben Briefe und die Kunst. Die Kirche, Organ des religiösen Gedanken, ist das Foyer der alten Welt… die menschliche Kammer abhängt auf die Art darunter die Justiz enthalten und entweder durch die Kirche oder durch die Revolution interpretiert,“ (von der Justiz, 1858).

Die Justiz der Revolution nach Proudhon ist es die Frucht dieser Fähigkeit, die der Mensch besitzt dank seinem Grund, seine Würde in der Person seines ähnlichen als eine seine eigene Person zu fühlen. Die Justiz ist es also: „Der Respekt, der spontan geprüft wurde, und der von der menschlichen Würde in irgendeiner Person und unter irgendeinem Umstand, den sie einbegriffen ist und an irgendeinem Risiko gegenseitig garantiert ist, das uns ihre Verteidigung anführt“.

Konkreter zweifellos die Justiz sozial ist es die Gleichheit und das Gleichgewicht in der Freiheit. In der Tat sind die Männer entsprech: „Alle Individuen, aus denen die Gesellschaft sich zusammensetzt, sind im Prinzip ebenso Benzin ebenso Kaliber gleichartiges, ebenso Modell-; wenn irgendein Unterschied sich untereinander manifestiert, stammt sie nicht aus dem kreativen Gedanken, der ihnen gegeben hat, es zu sein und es bildet, aber von den Außenumständen, unter denen die Individualitäten sich entstehen und entwickeln“.

Die Justiz ist es diese Gleichheit des Individuummenschen, die durch das Gleichgewicht mit den sozialen Kräften bewahrt wird. Denn die sozialen Kräfte müssen entsprech sein, um ausbalanciert zu werden, so daß eine die anderen nicht zermalmen, und daß also die individuelle Gleichheit, das heißt die individuelle Freiheit bewahrt wird.

Gleichheit ist Freiheit[edit]

In der Tat nach Proudhon die Gleichheit ist es die Freiheit. Es ist, weil der Mensch entsprech vom Menschen ist, den er sein eigener Richter ist, und daß er sich in Autorität gegenüber sich selbst bildet. Es kann keine Freiheit geben, wenn die Autorität äußerlich am Menschen ist. Es kann eine Freiheit geben nur, wenn der Mensch sein eigener Meister ist. Deshalb sind die Devisen der Anarchie „weder Gott noch Meister“ (selbst wenn das von blanqui kommt;). Es ist der Grund, aus dem die Justiz der Revolution nur die Justiz der föderativen Selbstverwaltung, die Justiz des Mutualismus und der Zusammenarbeit sein kann.

Mutualismus und Kooperation[edit]

Die Wirtschaft wird im Rahmen mutualer und gemeinsamer Institutionen selbst verwaltet, die sich aus dem Abschluß synallagmatischer und wechselseitiger Verträge mit gegenseitigen und entsprech Verpflichtungen ergeben. Die Männer werden sich freiwillig gruppieren, indem sie sich gegenseitig eine gegenüber den anderen zwingen, und indem sie sich verpflichten werden, eine Sache zu geben oder zu machen, die als das äquivalent von dem angeschaut wird, was man für sie macht.

So werden Einheiten der Produktion und der Verteilung dargestellt, die zwischen ihnen von den Verträgen übergehen werden, die ihre Berichte leiten sollen. Diese Einheiten werden sich freiwillig zusammenfassen, um unabhängige Einheiten in den verschiedenen Bereichen der menschlichen Aktivität darzustellen: Bergbau-, verarbeitende, kommerzielle, landwirtschaftliche Gewerbe von den Briefen, Wissenschaften und Künsten. Die freiwillige Neugruppierung der unabhängigen Einheiten wird eine landwirtschaftlich-industrielle Föderation aus der Taufe heben, die beauftragt wird, alle öffentlichen Dienste zu verwalten. Die Politik, wird das heißt die allgemeine Verwaltung ebenso Art selbst verwaltet.

In Richtung einer weltweiten Föderation[edit]

Politisch werden sich die Menschen freiwillig durch den mutualen Vertrag in Gemeinden zusammenfassen, die sich freiwillig im Rahmen von Provinzen verbinden werden, die sich verbinden werden selbst, um eine politische Föderation darzustellen, das heißt eine föderalistische Organisation.

Diese föderalistische Organisation, um nicht bedrückend zu werden darf keine gewisse Größe überschreiten. Es ist der Grund, aus dem Proudhon geschrieben, daß: „Europa wäre für einen einzigen Bund noch zu groß: sie könnte nur einen Bundesbund ausbilden“ (vom föderativen Grundsatz, 1863).

Die föderalistische Organisation hat: „eine Rolle der Gesetzgebung, der Institution, der Eröffnung, der Einrichtung… ersten Motors und hohen Direktors… von Hauptorgan der sozialen Bewegung…“.

Aber Beachtung, die Macht dieser föderalistischen Organisation kann nicht zwingend sein, da sie von der freiwilligen Assoziation freier entsprech Männer also ausgeht. Die Macht der föderalistischen Organisation ist im Grunde eine Macht leitender Koordinierung, die die Einheiten der Basis frei ausführen läßt. Die föderalistische Organisation selbst verwaltet kann also nicht mit dem französischen Staat ihres Zeitalters, dem Staat napoléonien, einem zentralisierten, hierarchisch strukturierten und autoritären Staat verglichen werden. Die föderalistische Organisation ist eine Organisation dezentralisiert.

Einzig erlaubt die föderalistische Organisation die Justiz, die Gleichheit und das Gleichgewicht in der Freiheit: „Die Gesellschaft muß nicht wie ein hérarchie von Funktionen und von Fähigkeiten, aber als ein équilibrationssystem zwischen freien Kräften angesehen werden, in dem jeder gewährleistet ist, dieselben Rechte zu genießen, unter der Voraussetzung dieselben Vorteile in Austausch derselben Dienstleistungen zu füllen“ (vom föderativen Grundsatz, 1863).

(Jedoch macht sich Proudhon wenig Illusionen in Verbindung mit der Verwirklichung seines Systems, da er in 1860 schreibt: „Wir gehen zu einer Bildung von 5 oder 6 große Imperien, die alle für Ziel hat, das divin Recht zu verteidigen und zu restaurieren und die niedrige Plebs zu nutzen… es wird mehr in Europa weder Rechte geben weder Freiheit weder Grundsätze noch Sitten“ (Brief an Beslay, 3. Mai 1860).

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